La corruption dans le domaine de la santé humaine ou animale, a privilégié le recours à une alimentation inappropriée, dont l'objectif a été, depuis 50 ans, d'enrichir les acteurs de l'Agro-Business, de rendre l'homme et les animaux domestiques malades, pour ensuite les soigner le plus longtemps possible sans jamais les guérir, en leur infligeant, par les traitements instaurés, d'autres maladies qui enrichiront encore davantage un système cynique, sans scrupule.
 

Chez l'homme, la dénonciation crapuleuse du cholestérol comme responsable des maladies cardiovasculaires a été l'une des plus grandes ignominies qu'ai subi l'humanité; cette escroquerie scientifique à entrainé un marasme sanitaire planétaire: près de 500 millions de personnes sont diabétiques, 4 à 6 millions meurent chaque année du diabète ! 40% des américains sont obèses, 70 % en surpoids, 10 % sont diabétiques: les Etats-unis sont le pays le plus malade au monde même si les dépenses de "santé" ponctionnent 17% du PIB américain ! La France suit de très près dans la médiocrité...

Pour les animaux domestiques, les industriels américains (et français ! ) ont inondé le marché de l'alimentation animale de leurs croquettes, empoisonnant sciemment chiens et chats, pour leur infliger toujours plus de pathologies qu'ils soigneront avec des croquettes toujours plus toxiques et plus chères.

Que ce soit pour l'Homme ou pour les animaux, ces crimes ont été perpétrés avec la bénédiction et la complicité active des plus hautes autorités médicales, humaines ou vétérinaires , ainsi que celle des ministères de la "Santé" et de l'Agriculture qui se sont succédés au pouvoir, en occident, depuis 50 ans.

Diabète et télémédecine

Ces constatations, et l'aberration des traitements mis en place pour le traitement du diabète de l'homme et des animaux, m'ont conduits, en 2014, à proposer un site de télémédecine pour traiter le diabète du chat et du chien.

La télémédecine vétérinaire était alors interdite.

Depuis 2013, je faisais déjà, pour mon activité à domicile, de la publicité sur l'internet via Google Adwords (autorisée par le Code de Déontologie en mai 2015. 
 

Pour le site de télémédecine du diabète du chat et du chien, j'ai procédé de la même façon, à savoir publicité sur Google Adwords. Ce que j'espérais par dessus tout, c'était un procès des instances ordinales et/ou des multinationales de la croquettes. Mes espoirs ont été très déçus... 
 

Après la parution de mon livre "Le diabète: un crime organisé", je recevais un soutien inespéré en la personne de Bertrand Burgalat, qui dans son livre "Diabétiquement vôtre", faisait l'éloge de mon livre (voir ci dessus). Devant ses encouragements et mes résultats spectaculaires avec les chats, je créais, en octobre 2015, un site de télémédecine pour "guérir" les diabétiques humains, le premier site de télémédecine grand public français. Pour éveiller le curiosité des hautes instances médicales françaises, je proposais à Google de faire de la publicité sur son service Google Adwords, ce qu'il accepta, trop content d'avoir son premier client "médical" européen.
 

Après avoir accusé dans mon livre, l'Ordre des Médecins, des Vétérinaires, la Ministre de la Santé de l'époque, le Ministre de l'Agriculture, la quasi totalité des laboratoires pharmaceutiques, François Hollande, président de la République, d'incompétents, de corrompus, de criminels, j'étais persuadé qu'en ajoutant mon exercice illégal de la Médecine, le recours à la télémédecine (autorisé en novembre 2018...), et à la publicité sur Internet, j'aurais enfin droit à une belle mise à mort (virtuelle...), ou du moins à un bon procès stalinien...

Le site "guerir-du-diabete.fr" a été un grand succès (voir ci-dessous, la synthèse d'activité): en 68 jours, 425.000 "impressions , 7110 "clics" pour un coût de "publicité" de 430 € !

Malgré mon acharnement à défier les autorités médicales, aucune plainte n'a été déposée par le Ministère de la "Santé" ou par l'Ordre des Médecins. Autre fait remarquable, aucun médecin, aucun vétérinaire ne m'a apporté un quelconque soutien ou critique... J'ai essayé de contacter des médecins pour créer une structure "professionnelle" pour s'attaquer enfin aux vrais causes du diabète, et à des coûts dérisoires comparés aux 30 milliards d'Euros engloutis chaque année par l'administration française dans la lutte contre ce fléau, qui n'a pour effet que de recruter de plus en plus de malades et d'enrichir Sanofi, première capitalisation boursière du CAC40, présidé par un énarque . Aucune réponse ! J'ai rencontré des responsables de compagnies d'assurances médicales privées...Aucune suite!
L'Omerta... 

Fin janvier 2016, Google Adwords me signifiait qu'il ne pouvait plus assurer la diffusion de mon annonce en l'état: l'intitulé de la première page de mon site "Guérir du diabète", était considéré comme un "contenu trompeur". Je faisais part à mon interlocuteur "Google" de mon étonnement devant le manque de réactivité de ses services juridiques qui avaient mis plus de deux mois à se rendre compte d'une évidence, surtout que j'étais leur premier "client privé" dans le domaine médical. Ces services me proposaient même d'insérer "essayer de" devant "Guérir du diabète" pour rendre à nouveau l'annonce recevable, ce que je n'ai pas jugé, alors, utile de faire.

Septembre 2016: Google et Sanofi annoncent en grande pompe la création d' Onduo, "clinique virtuelle pour le diabète". L'investissement est de 500 millions de dollars ! Objectif: suivre avec la télémédecine les 400 millions de diabétiques dans le Monde. Marché potentiel: 500 milliards de dollars !

Décembre 2019: Onduo est un fiasco ! Sanofi se désengage de cette co-entreprise et abandonne la recherche sur le diabète et les maladies cardiovasculaires. L'insuline comme thérapeutique exclusive du diabète, ou les statines pour les maladies cardio-vasculaires, ont crapuleusement enrichi les grosses multinationales pharmaceutiques, fait des dizaines de millions de morts et sont reconnues aujourd'hui, par les laboratoires eux-mêmes, comme des non sens thérapeutiques. Il n'y a plus d'argent à prendre pour eux dans ce business mais peut être à en perdre, dans les procès planétaires auxquels ils devront faire face.